MANIFESTATION INTERSYNDICALE

MANIFESTATION INTERSYNDICALE
SAMEDI 13 JUIN 2009
10 h 30
PLACE STANISLAS
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RASSEMBLEMENT CGT
devant le Musée des Beaux Arts qui se situe à l’angle de la rue Stanislas et de la Place Stanislas.
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•Ordre de la manifestation : CFTC – CGC – UNSA – SOLIDAIRES – FSUCGT – CFDT – FO
•Derrière les organisations syndicales se positionneront les associations, les partis politiques.

Bachelot fait le plein contre son projet de loi

Des manifestations rassemblant plusieurs dizaines de milliers de personnes contre la loi Bachelot et pour la « défense du service public hospitalier » ont eu lieu jeudi 14 mai dans une trentaine de villes, dont Paris, Nancy, Lyon, Marseille, Besançon,Gap, Lyon, Marseille, Nantes ou Nice. Des rassemblements ont eu lieu à Bayonne, Lille, Montpellier, Nîmes, Perpignan, Poitiers, Rennes, Tours ou Verdun. Ce projet de loi en débat à l’Assemblée nationale depuis le 10 février est contesté par les organisations
syndicales, la mutualité, de très nombreux élus, usagers et professionnels ainsi que par plusieurs dizaines de professeurs de médecine.

Sarkozy à Nancy

MANIFESTATION DEPARTEMENTALE INTERPROFESSIONNELLE MARDI 12 MAI A NANCY - RENDEZ VOUS A 10H30 PLACE DRIANT (à côté de l’Union Départementale CGT) -


Pour l’emploi, les services publics, les salaires, la protection sociale et la santé, les libertés tous ensemble mardi 12 mai pour montrer au pouvoir à l’occasion de la visite du Président de la République au CHU de Nancy notre détermination pour une autre politique sociale et économique!

Confrontés à une crise systémique du capitalisme les salarié(e)s en subissent de plein fouet les conséquences !

Or depuis des dizaines d’années la part des salaires dans la valeur ajoutée n’a cessé de diminuer (manque à gagner en défaveur des salariés de 160 milliards d’euros par an par rapport à 1983), les conditions de travail se sont dégradées dans toutes les entreprises, la casse des services publics s’est encore accentuée depuis 2 ans, la casse de l’industrie connaît un nouvel épisode dramatique et politiquement rien n’est fait pour assurer une garantie des droits et de l’emploi des salariés concernés !

C’est d’une véritable sécurité sociale professionnelle, d’une lutte contre la précarisation des emplois et le chômage, d’une augmentation des salaires, d’une réforme fiscale supprimant le bouclier fiscal et rétablissant la progressivité de l’impôt sur le revenu dont les salariés et leur famille ont besoin!

A cette occasion, à n’en pas douter d’un nouveau show médiatique et d’une ville de Nancy sous pression policière, le Président va venir « vendre » la loi Bachelot Hôpital, Patients, Santé, Territoire en discussion au Sénat qui va se traduire si elle s’applique en l’état à une privatisation de la santé et à des milliers de suppressions d’emplois !

700 emplois en moins au CHU de Nancy dans une région pilote pour cette loi et dans un département gravement touché par la casse de l’industrie comme chez Kleber, touchée par le chômage partiel dans l’automobile est une provocation inacceptable pour notre organisation !

Après les manifestations massives et dynamiques du 29 janvier, du 19 mars et du 1er mai en Meurthe et Moselle et notamment à Nancy nous appelons tous les militants et salariés à venir manifester leur mécontentement et leurs exigences de justice sociale!

Nancy, le 7 mai 2009
la cgt des Cadres et des Technicien-nes

UNE FORCE À VOS COTéS

Se syndiquer pour être respectés et reconnus.

L’exigence de respect des droits et de reconnaissance de la valeur du travail est plus que jamais d’actualité dans le contexte de crise actuel. L’instabilité et l’opacité s’installent sur nos emplois et cependant, vous avez le sentiment d’être isolé, de ne pas avoir prise sur les événements et d’avoir du mal à surmonter les difficultés de la vie professionnelle.

Vous êtes Ingénieur, Cadre, Enseignant, Profession Technicienne ou Agent de Maîtrise… et vous vous sentez concernés. Vous n’êtes pas le seul ! Vous pensez peut être qu’il faut faire quelque chose mais vous ne savez pas comment ? Se syndiquer à la CGT est un moyen efficace pour agir.

La CGT des cadres et des technicien-nes fait les propositions suivantes :

Qualifications et salaires: urgente revalorisation!

Les études, la qualification, doivent être reconnues et rémunérées à leur juste niveau. C’est pourquoi nous revendiquons :

Reconnaissance des diplômes dès l’embauche,

Reconnaissance des qualifications par le salaire et non sous formes aléatoires,

L’encadrement doit bénéficier d’augmentations générales garantissant une amélioration du pouvoir d’achat,

Aucun salaire de cadres inférieur au plafond de la Sécurité sociale (2 859 euros).

Pas de différence homme/femme dans le déroulement de carrière, la rémunération et les responsabilités.

Le temps de travail, ça (se) compte.

C’est pour cela que nous revendiquons :

La comptabilisation de toutes les heures supplémentaires pour paiement ou récupération,

Le décompte de toutes les heures effectuées quel que soit le type de forfait,

L’allègement des charges de travail suivie collectivement,

Une organisation du travail permettant de concilier équitablement vie privée et vie professionnelle.

Notre retraite ? Dès 60 ans, avec au moins 75 % du revenu d’activité !

A cet effet nous proposons :

La validation (sans rachat) des années d’études supérieures, des périodes de recherche d’un premier emploi et plus généralement de toutes les périodes d’inactivité forcée à compter de la sortie du cycle d’études secondaires et jusqu’à l’âge de la retraite.

La compensation au moment de la retraite des discriminations subies par les femmes durant leur carrière

Des mesures de financement immédiates garantissant la pérennité de tous nos régimes de retraite dont l’AGIRC (ce régime verse les deux tiers de leur retraite complémentaire aux cadres du privé) fondées notamment sur :

L’élargissement de l’assiette des cotisations à tous les éléments de rémunération

Une mise à contribution des revenus financiers des entreprises

L’extension de l’assiette des cotisations patronales pour la retraite à l’ensemble de la valeur ajoutée des entreprises, en différenciant pour chacune d’elles le taux de cette cotisation en fonction de sa politique d’emploi, de salaire, d’investissement socialement responsable, de recherche et développement

Notre santé en jeu, dans les organisations du travail.

Les pressions de toutes sortes ont un prix: notre santé. Le stress, l’angoisse et la dépression se traduisent parfois par des suicides sur les lieux de travail.

Il existe un lien entre la conception qu’ont les actionnaires du rôle de l’entreprise c’est-à-dire la course sans fin à la performance qu’ils imposent aux cadres et la dégradation qui les atteint dans leur santé physique et morale.

Nous demandons des droits traduisant une autre conception du management fondée sur le plein exercice de nos qualifications, leur reconnaissance, le respect de nos responsabilités.

Pour un autre management: droits, écoute, respect.

L’entretien professionnel devrait être préparé au sein du collectif de travail et les moyens mis à disposition par l’employeur devraient être discutés. L’évaluation des salariés, enfin, devrait se faire sur la base de critères objectifs et transparents.

Nous pensons qu’un autre mode de management est possible. Il doit respecter les droits individuels et collectifs, permettre aux cadres de rester maîtres de leurs objectifs et de peser sur les moyens qui leur sont alloués pour les atteindre : une démarche plus juste. En proposant des solutions alternatives, les cadres affirment leur volonté d’efficacité, mais ils doivent aussi pouvoir exprimer leur désaccord avec les objectifs fixés en faisant appel par exemple auprès d’une instance professionnelle, basée sur le collectif de travail en présence des représentants du personnel.

Ingénieur, Cadre, Enseignant, Profession Technicienne ou Agent de Maîtrise… Se syndiquer à la CGT c’est utile pour sortir de l’isolement, donner corps à vos aspirations et de la force à vos revendications.

Faites vous plaisir, syndiquez vous à la CGT.

Informez-vous : www.ugict.cgt.fr

N’hésitez pas à nous contacter : ugict.cgt.fr
Rendez-vous le 19 mars 2009

Charleville Mézières -> 10h, Place Ducale
Troyes -> 15h, Bourse du Travail
Romilly -> 17h30, place de la gare
Reims -> 10h, Maison des Syndicats
Châlons -> 10h, Maison des Syndicats (Place de Verdun)
Epernay -> 10h, Place Carnot
Vitry -> 10h, maison des syndicats
Sezanne -> 13h, place du Champ Benoist
Chaumont -> 16h, Hôtel de Ville
Saint-Dizier -> 16h, devant la Salle Aragon
Nancy -> 14h, place Stanislas (Freeze à 16h)
Toul -> 10h, gare routière
Longwy -> 14h30, place Darche
Bar-le-Duc -> 14h, Gare SNCF
Commercy -> 10h, Sous-préfecture
Verdun -> 10h, Sous-préfecture
Neufchâteau -> 9h45, devant la sous-préfecture
Epinal -> 14h, devant la préfecture
Metz -> 15h, place Mazelle
....

M. LE PRÉSIDENT, TU NOUS AS CONVAINCUS : LE 19 MARS, ON RETOURNE DANS LA RUE !

La mobilisation du 29 janvier a contraint Nicolas Sarkozy à évoquer les conditions spécifiques de travail des jeunes. Les nombreuses mobilisations dans les secteurs de l’Education ont permis l’émergence de revendications étudiantes.

Cependant, les « mesures » proposées, qui vont vers une plus grande flexibilité pour les salariés et une meilleure sécurité pour les employeurs, ne sont qu’un saupoudrage, un leurre face à l’URGENCE SOCIALE.

Il est donc important de répondre présent le 19 mars pour cette nouvelle étape de mobilisation dans la construction du rapport de forces engagé par l’ensemble des salariés sur tout le territoire français.

Soyons plus nombreux à nous organiser pour faire aboutir nos revendications à l’instar des récentes mobilisations victorieuses aux Antilles.

Nous exigeons :

- une revalorisation des salaires sur la base d’un Smic à 1 600 € ;
- la création de logements sociaux à hauteur des besoins et un encadrement des loyers ;
- une allocation transport destinés aux jeunes salariés en situation de mobilité ;
- la requalification automatique de deux CDD continus en CDI ;
- un service public d’accueil de la petite enfance.

Le travail est un droit. La CGT propose, pour lutter contre les multiples périodes emploi / chômage, contre la précarité, un nouveau statut du travail salarié et une véritable Sécurité sociale professionnelle fondés sur une véritable politique de formation et de reconnaissance des parcours professionnels. La CGT propose aussi de se mobiliser pour de véritables garanties de protection sociale dans un
cadre collectif et solidaire.

La crise, c’est eux.
La solution, c’est nous…TOUS !!!

La France a besoin d’une stratégie industrielle

Les salariés attendent des réponses concrètes à leurs revendications. Ils ont des interrogations justifiées sur les réalités des politiques mises en oeuvre, d’autant que les problèmes qui se posent aujourd’hui dans l’urgence étaient identifiables depuis des mois voire des années. La contradiction était en effet béante : d’un côté, les vingt grands groupes français à base industrielle affichaient, début 2008, 50 milliards d’euros de profits nets ; de l’autre, l’industrie française ne cessait d’accumuler les problèmes : recul de la production, emplois industriels en régression forte, creusement du déficit commercial. Il y a un an, près d’un salarié sur deux de l’industrie estimait son emploi menacé.

Compte tenu des risques qui pèsent sur le contrôle ou l’avenir de certaines entreprises et branches, plusieurs dossiers industriels méritent un examen particulier. C’est le cas de filières entières comme l’automobile avec les difficultés des constructeurs et sous-traitants, de l’aéronautique dont nombre d’activités sont poussées à la délocalisation, de la pharmacie, de l’agroalimentaire...

Les problèmes ont une dimension sectorielle évidente. Mais il y a aussi besoin d’avoir une vue globale dans la mesure où se pose la question de l’évolution de l’ensemble de l’industrie.

Ces problèmes particuliers ou plus globaux sont, pour l’essentiel, antérieurs à la phase actuelle de la crise financière. Mais ils se trouvent amplifiés par cette crise et ses conséquences.

Avec l’accentuation des difficultés économiques, nous risquons incontestablement de voir grossir la vague de désindustrialisation. La France perd incontestablement des parts de marché comme le montrent les récents chiffres du commerce extérieur. Le recul de la France dans les échanges industriels internationaux est net : en dix ans, la perte de parts de marché atteint 16 % pour les produits manufacturés. Depuis 2001, la valeur ajoutée industrielle plafonne à 230 milliards d’€. Nous assistons enfin à une baisse relative de la valeur technologique de nos exportations.

Dans le débat sur la compétitivité, le coût du travail mis en avant par le Medef, joue une fois de plus le rôle de paravent. Après les 35 heures, c’est le coût de l’heure de travail en France qui serait censé expliquer les problèmes rencontrés. Cet argument est faux. Le coût de l’heure travaillée dans l’industrie a évolué ces dix dernières années comme celui de la moyenne européenne. Ce n’est que dans la toute dernière période que la compétitivité - coût des exportations françaises s’est dégradée par rapport à l’Allemagne, donc bien trop tardivement pour expliquer une désindustrialisation qui s’est amplifiée depuis vingt ans !

Là n’est donc pas le problème central. Certes la concurrence s’est accentuée. L’euro surévalué a pesé sur les débouchés des productions européennes. Mais le coût salarial unitaire du secteur manufacturier français a continué de baisser (- 10 points en dix ans) prolongeant la tendance des années 80 !

POUR UN 29 JANVIER 2009 HISTORIQUE

Déclaration commune
Propositions et revendications des organisations syndicales
CFDT, CFTC, CFE-CGC, CGT, FO, FSU, Solidaires, UNSA

La crise économique amplifiée par la crise financière internationale touche durement une
grande partie des salariés dans leurs emplois et leurs revenus. Alors qu’ils n’en sont en rien
responsables, les salariés, demandeurs d’emploi et retraités, sont les premières victimes de
cette crise. Elle menace l’avenir des jeunes, met à mal la cohésion sociale et les solidarités ;
elle accroît les inégalités et les risques de précarité.

Les seules lois du marché ne peuvent régler tous les problèmes.

Face à cette situation et considérant qu’il est de leur responsabilité d’agir en commun,
en particulier lors de la journée du 29 janvier, pour obtenir des mesures favorables aux
salariés, les organisations syndicales CFDT, CFTC, CFE-CGC, CGT, FO, FSU, Solidaires,
UNSA ont décidé d’interpeller les entreprises, le patronat et l’Etat.

Surmonter la crise implique des mesures urgentes en faveur de l’emploi, des rémunérations et
des politiques publiques intégrées dans une politique de relance économique.

1 – Donner la priorité au maintien des emplois dans un contexte de crise économique
De nombreuses entreprises mettent la pression sur les sous-traitants et fournisseurs faisant
supporter à leurs salariés blocages de rémunérations et pertes d’emplois. Par ailleurs, des
salariés sont contraints à des durées du travail élevées, tandis que les salariés temporaires, en
intérim ou en CDD, sont les premiers à faire les frais des baisses d’activité. Des entreprises
utilisent la crise pour opérer des restructurations tout en maintenant la rémunération de leurs
actionnaires.

C’est intolérable et inadmissible.

Les entreprises confrontées aux baisses d’activité utilisent des mesures de sauvegarde
d’emplois comme le chômage partiel, les jours de RTT ou de congés… Toutes ces mesures
doivent être négociées dans l’objectif de préserver l’emploi et les salaires. Les aides publiques
doivent aussi y être conditionnées. Les entreprises doivent améliorer l’indemnisation du
chômage partiel et tous les salariés doivent pouvoir en bénéficier. Ces périodes de baisse
d’activité doivent être utilisées pour développer la formation professionnelle et renforcer les
compétences des salariés.
Dans toutes les entreprises, quelle que soit leur situation, c’est notamment en investissant dans
la formation et le travail qualifiant et en réduisant la précarité que la performance sera
assurée.
Dans la fonction et les entreprises publiques, il est indispensable de répondre aux besoins de
notre société et de la population et de leur attribuer les moyens nécessaires. Dès 2009, le
gouvernement doit renoncer aux 30.000 suppressions de postes. Il faut abandonner une
politique aveugle de suppression d’emplois et penser autrement l’évolution des services
publics dont la qualité et l’emploi constituent une question centrale.
La situation des salariés précaires du public appelle des mesures de justice sociale.

2 – Politiques salariales : améliorer le pouvoir d’achat, réduire les inégalités
Les exigences des actionnaires ont conduit, dans beaucoup d’entreprises, à l’accroissement
des inégalités. Elles se sont aussi traduites par une redistribution des richesses privilégiant le
versement de dividendes au détriment des salaires et de l’investissement.
Dans les branches, les entreprises, les fonctions publiques, les négociations salariales doivent
assurer au moins un maintien du pouvoir d’achat et une réduction des inégalités.
Les allégements de cotisations sociales doivent être conditionnés à la conclusion d’accords
salariaux.

3- Orienter la relance économique vers l’emploi et le pouvoir d’achat
Il est de la responsabilité de l’Etat et de l’Union Européenne de décider de politiques
d’interventions publiques coordonnée favorisant une relance économique. Celles-ci doivent
viser à la fois :

§ Une relance par la consommation en améliorant le pouvoir d’achat, en priorité des revenus
les plus modestes parmi lesquels de nombreux salariés, demandeurs d’emploi, retraités et
bénéficiaires de minima sociaux.

§ Une politique de développement de logement social à la hauteur de l’urgence, un
encadrement des loyers et un accès au crédit dans des conditions excluant les taux usuraires.

§ Une protection sociale (santé, retraite…) dans un cadre collectif et solidaire.

§ Des investissements ciblés, en particulier en matière d’infrastructures, d’équipements
publics et de services publics, en favorisant la recherche, le développement, l’éducation et la
formation.

Les investissements publics et privés doivent notamment être orientés en faveur d’une
économie du développement durable mettant en oeuvre les principes adoptés au Grenelle de
l’Environnement.

§ Toute aide accordée à une entreprise doit être ciblée et faire l’objet de contreparties. Elle
doit être conditionnée à des exigences sociales, en particulier en matière d’emploi. Elle doit
faire l’objet d’une information et d’un avis préalable des élus représentant les salariés. Dans le
cas spécifique du secteur bancaire, l’utilisation des aides publiques doit donner lieu à un
contrôle direct par l’Etat.

4 – Préserver et améliorer les garanties collectives
Les conditions de vie et de travail pour les salariés des secteurs privé et public, passent par
l’amélioration du cadre collectif. C’est pourquoi il faut :
abroger les dispositifs légaux qui ont conduit à remettre en cause la réduction du temps de
travail
retirer la proposition de loi sur le travail du dimanche.
respecter le dialogue social sur tous les projets et propositions de loi qui touchent à la
réglementation du travail.
face à la révision générale des politiques publiques (RGPP), mettre en oeuvre des réformes
porteuses de progrès social.

5 – Réglementer la sphère financière internationale
Cette réglementation doit mettre un terme à la spéculation, aux paradis fiscaux, à l’opacité du
système financier international et encadrer les mouvements de capitaux. L’Union européenne
doit être au premier plan pour l’exiger.

Il faut aussi imposer le respect des droits fondamentaux et sociaux et des normes
internationales de l’OIT dans tous les échanges internationaux. L’aide publique au
développement doit être maintenue et améliorer. C’est ce que demande le mouvement
syndical international.

Le 5 janvier 2009

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