AUCUNE LOI NE PEUT ARRETER
LES REVENDICATIONS DES SALARIES

Les revendications en matière d’emploi, de salaires, de conditions de travail, d’inégalité entre les femmes et les hommes, de fiscalité et de partage des richesses restent plus que d’actualité !

La promulgation de la loi sur les retraites ne retire en rien le caractère injuste et inacceptable de cette réforme.

L’intersyndicale C.G.T - C.F.D.T – F.S.U – UNSA – SOLIDAIRES appelle à un  rassemblement le

MARDI 23 NOVEMBRE 2010
 À 17 h 00

Place MAGINOT
 À NANCY


POUR INFO :

- une distribution de tract de l’intersyndicale aura lieu  
     le LUNDI 22 NOVEMBRE 2010 à 7 h 00 en gare de NANCY
        

- à l’initiative de l’UL de TOUL, un RASSEMBLEMENT est organisé le SAMEDI 27 NOVEMBRE à 10 h 00 devant la Permanence de Nadine MORANO.

L’Union Départementale appelle les syndicats disponibles à se rendre à ce rendez-vous.

Communiqué CFDT, CFE/CGC, CFTC, CGT, FSU, UNSA

Intersyndicale du 21 octobre

Les journées du samedi 16 et du mardi 19 octobre 2010 confirment que la mobilisation est ancrée dans la durée à un haut niveau. Ce sont des millions de salariés qui dans le cadre de ces 6 journées d’action depuis début septembre affirment vouloir une autre réforme des retraites juste et efficace et l’ouverture de négociations avec les syndicats.

L’ampleur des mobilisations confirme qu’au-delà de la réforme des retraites, l’emploi, les salaires, les conditions de travail mais aussi l’avenir des jeunes sont restés sans réponses efficaces notamment depuis l’aggravation des situations liée à la crise financière de 2008. Les organisations syndicales conviennent de travailler ensemble sur ces questions dans les semaines à venir afin d’interpeller le gouvernement et le patronat.

Différents sondages réalisés ces derniers jours confirment que le mouvement recueille un très large appui de la population confirmant que c’est par un large débat public et une véritable concertation en amont qu’il faut aborder une réforme importante comme celle des retraites.

Les organisations syndicales appellent leurs organisations à poursuivre leurs mobilisations afin de rassembler le plus grand nombre et d’amplifier le soutien de l’opinion publique. Elles appellent leurs organisations dans les territoires, les entreprises, les administrations à poursuivre les initiatives unitaires. Elles veilleront au respect des biens et des personnes.

Le gouvernement porte la responsabilité pleine et entière de la poursuite de la mobilisation compte tenu de son attitude intransigeante, de son absence d’écoute et de ses provocations à répétition. Il ne peut pas répondre à la situation actuelle par le déni et la répression.

Les organisations syndicales appellent solennellement le gouvernement et les parlementaires à ne pas adopter cette réforme en l’état.

Les organisations syndicales confirment que c’est par un large débat public et une véritable concertation en amont qu’il faut aborder une réforme importante comme celle des retraites.

Fortes du soutien des salariés, des jeunes et d’une majorité de la population et face à une attitude intransigeante du gouvernement et du chef de l’Etat, les organisations syndicales décident de continuer et d’élargir la mobilisation.

Elles décident de deux nouvelles journées de mobilisation :
le jeudi 28 octobre : une journée nationale de grèves et de manifestations dans la semaine du vote au Parlement.
le samedi 6 novembre : une journée de mobilisations et de manifestations avant la promulgation de la loi par le chef de l’Etat.

Les organisations syndicales se retrouveront le 4 novembre.

AMPLIFIONS LES MOBILISATIONS

MARDI 19 octobre,
AMPLIFIONS LES MOBILISATIONS

Chèr-e camarade,

Cette quatrième journée d’action depuis début septembre contre le projet de réforme des retraites que veut imposer le gouvernement confirme l’opposition grandissante des salariés, soutenus par l’opinion publique, à une réforme injuste et inefficace qui aggrave les inégalités sans assurer la pérennité des retraites par répartition. Le gouvernement et les parlementaires ne peuvent ni mépriser ni ignorer les exigences exprimées par les salariés et les organisations syndicales. Les organisations syndicales CFDT, CFE/CGC, CFTC, CGT, FSU, SOLIDAIRES, UNSA appellent à participer massivement aux manifestations du MARDI 19 octobre, veille du vote au Sénat sur l’ensemble de la loi. Pour amplifier la mobilisation et réussir la journée du 19 octobre, elles appellent l’ensemble de leurs organisations dans les territoires, les entreprises et les administrations à poursuivre les initiatives unitaires. Les organisations syndicales demandent aux sénateurs de ne pas adopter cette réforme injuste. Les autres modalités sont les suivantes : HORAIRES et LIEU :
Rassemblement à 14 h 00 PLACE DOMBASLE pour un départ à 14 h 30.
ORDRE DU CORTEGE :
-CGT – Lycéens - CFDT – FO - CFTC – CFE/CGC – UNSA – FSU – SOLIDAIRES – UNEF-associations et partis politiques.
PARCOURS : Départ :
- Départ place Dombasle (constitution du cortège de la place Dombasle (CGT) – rue Guerrier Dumast à la place Carnot) - Rue Stanislas - Rue Raymond Poincaré - Rue Piroux - Avenue Foch - Viaduc Kennedy - Bd de l’American Légion - rue Mont désert - Pont des fusillés - rue Cyfflée - rue des 4 églises - rue Charles III - rue St Dizier - rue de la monnaie - Cours LEOPOLD (prise de parole intersyndicale)

Intersyndicale du 4 octobre 2010

Un 12 octobre déterminant !

mardi 5 octobre 2010
Communiqué commun Cfdt, Cfe-Cgc, Cftc, Cgt, Fsu, Solidaires, Unsa

Après les journées du 7 et du 23 septembre, la mobilisation du samedi 2 octobre 2010 a été un formidable succès partout en France. Cette journée a vu de nouveaux manifestants rejoindre les cortèges. Près de 3 millions de salariés du public comme du privé, seuls, entre collègues ou en famille ont continué massivement à exprimer leur opposition au projet de réforme des retraites.

Confronté à cette mobilisation qui s’amplifie, le gouvernement reste campé sur son intransigeance. Il préfère le mépris au dialogue, il commente les chiffres de manifestants plutôt que de répondre à leurs inquiétudes et exigences.

Les organisations syndicales confirment la journée nationale de grèves et de manifestations du mardi 12 octobre 2010. Elles appellent les salariés, les retraités, les chômeurs à y participer massivement.

Alors que s’ouvre le débat au Sénat le 5 octobre et afin de faire du 12 octobre prochain un rendez-vous déterminant, elles appellent leurs organisations à élargir et à amplifier la mobilisation unitaire par des initiatives dans les territoires, des rencontres avec les salariés et interpeller les sénateurs en utilisant très largement la lettre ouverte unitaire au Président de la République et aux parlementaires.

Les organisations syndicales considèrent qu’il faudra donner des suites au mardi 12 octobre et décident à cette fin de se revoir vendredi 8 octobre 2010.

Fait, le 4 octobre 2010

Intersyndicale du 24 septembre Communiqué commun

CFDT, CFE/CGC, CFTC, CGT, FSU, UNSA
vendredi 24 septembre 2010, par MLF

Les organisations syndicales considèrent que la journée nationale d’action du 23 septembre 2010 est un franc succès. Les salariés du public et du privé, en participant massivement à cette 2ème journée de grèves et de manifestations du mois de septembre, ont réaffirmé leur détermination à ne pas accepter une réforme injuste et inefficace.

La journée d’hier a été marquée par l’engagement de nouveaux salariés du privé, notamment des PME mais aussi par la présence de plus de jeunes et de femmes. Cette vaste mobilisation s’accompagne d’un large soutien de la population qui refuse le report de l’âge légal de départ à la retraite de 60 à 62 ans ainsi que celui de 65 à 67 ans pour toucher une retraite à taux plein. Quoi qu’en dise le Gouvernement, la démobilisation suite au vote à l’Assemblée nationale, n’a pas eu lieu.

C’est bien l’exigence d’un véritable débat et l’examen d’autres alternatives au projet de loi qui s’expriment plus fortement.

Les organisations syndicales mettent en garde le Gouvernement sur les conséquences que provoquerait l’ignorance de la colère qui s’exprime profondément.

Les organisations syndicales réaffirment leur totale détermination. Elles confirment les termes de leur lettre ouverte unitaire au Président de la République et aux parlementaires, notamment : « le vote de ce projet dans sa logique actuelle n’est pas d’actualité ».

Elles invitent leurs organisations à poursuivre ensemble, à tous les niveaux, la mobilisation unitaire par des initiatives dans les territoires et les entreprises en interpellant les sénateurs et en utilisant (pétitions, tracts…) très largement cette lettre ouverte.

Sachant que le texte de loi sera à l’examen du Sénat à partir du 5 octobre et que la procédure parlementaire pourrait se poursuivre jusqu’au 20 octobre, elles décident :

• D’une grande journée de rassemblements et de manifestations dans le pays le samedi 2 octobre pour conforter la mobilisation et permettre l’engagement de nouveaux salariés dans l’action.

• De faire du mardi 12 octobre une nouvelle journée massive de grèves et de manifestations pendant le débat au Sénat. Cette journée trouvera toute sa place pour amplifier la mobilisation dans le cas où les parlementaires ne prendraient pas en compte ce qui s’est exprimé dans l’action et si le Gouvernement restait intransigeant. Le Gouvernement porterait l’entière responsabilité des suites que les salariés et leurs organisations entendront donner au 12 octobre.

Plusieurs organisations participeront à la journée de manifestation européenne du 29 septembre pour s’opposer aux plans de rigueur en Europe. Elle donnera l’occasion à des milliers de salariés français de porter leurs revendications, notamment sur la retraite, à Bruxelles et partout en France.

Les organisations syndicales se reverront le 4 octobre et analyseront la situation.

Le 24 septembre 2010

L’opinion soutient la mobilisation du 23 septembre


mardi 14 septembre 2010, par Frédéric Dayan
A une semaine de la grande journée de mobilisation 57% des Français interrogés par l’Ifop pour Ouest France Dimanche, désapprouvent les choix du gouvernement au lendemain de la journée de manifestation du 7 septembre.
- Premier enseignement de ce sondage, les assouplissements de la réforme consentis changent peu le jugement des Français sur l’attitude de l’exécutif dans la gestion du dossier des retraites. Seul un tiers des Français (32%) considère le gouvernement « ouvert au dialogue ».
- Les annonces sur la pénibilité et les carrières longues n’ont pas affecté la perception des Français sur la réforme, toujours très majoritairement considérée comme injuste. Seuls 32% des Français jugent le gouvernement juste dans ses choix.
- Preuve supplémentaire que les mesures annoncées n’ont pas rassuré l’opinion, le mouvement de manifestation prévu le 23 septembre prochain recueille un fort soutien : 70% des Français considèrent le mouvement comme justifié et un tiers des Français (33%) l’estime même « tout à fait justifié ». De fait, la mobilisation contre la réforme des retraites ne faiblit pas.

Retraite, l’inquiétude de l’encadrement

85% des cadres très inquiets concernant le niveau de leur future pension

Une très grande majorité des cadres (85%) sont plutôt voire très inquiets concernant le niveau de leur future pension de retraite, selon un sondage réalisé par l’Association pour l’emploi des cadres (Apec) pour La Tribune lundi. Seuls 1% des cadres interrogés dans l’enquête se disent "très confiants", 8% "plutôt confiants" et 6% confient ne pas avoir encore étudié la question. 56% des cadres interrogés jugent plutôt voire tout à fait acceptable d’augmenter le nombre de trimestres validés nécessaires pour toucher une pension complète, mais ce n’est pas la piste la plus judicieuse pour une majorité des personnes interrogées. A la question de savoir quelle solution aurait leur préférence, l’allongement de la durée d’activité n’arrive qu’en sixième position. La majorité des cadres jugent au contraire judicieux en premier lieu de procéder à une "homogénéisation des systèmes de calcul des retraites public/privé" et de trouver de "nouvelles sources de financement (taxation des bénéfices, mouvements de capitaux)". Ils préconisent ensuite une "taxation des revenus non salariaux (bonus, intéressement, participation)", une "différenciation du calcul de la retraite selon le degré de pénibilité des emplois" et une "suppression des exonérations de cotisations". Enquête réalisée par emailing du 6 au 28 mai auprès d’un échantillon de 1.200 cadres représentatifs des cadres du secteur privé actuellement en poste selon l’âge et le sexe.


publié le 8 juillet 2010

CFDT, CFTC, CGT, FO, FSU, Solidaires, UNSA Communiqué de l’intersyndicale du 29 juin


mardi 29 juin 2010,
Ces dernières semaines, les salariés du public et du privé, les demandeurs d’emploi, les jeunes et les retraités se sont mobilisés de plus en plus massivement sur les retraites, notamment le 24 juin 2010. Ils ont réaffirmé leur opposition au projet de réforme injuste et inacceptable du gouvernement, notamment au report brutal des âges légaux à 62 et 67 ans qui pénalise particulièrement les salariés ayant commencé à travailler jeunes et ceux ayant eu des carrières chaotiques et incomplètes.
Cette réforme n’apporte, par ailleurs, pas de réponse sur le plan de la pénibilité.
Elle aggrave les inégalités entre les hommes et les femmes. Les organisations syndicales dénoncent la campagne médiatique précipitée du gouvernement qui travestit la réalité du projet.
Cette réforme, une des plus dures d’Europe, arrive dans une situation économique dégradée où le chômage est en hausse continue et touche plus fortement les jeunes et les seniors. Les politiques de rigueur se généralisent dans toute l’Europe en aggravant les inégalités et hypothèquent fortement toute reprise.
Des initiatives intersyndicales viseront à interpeller le gouvernement et ses représentants, aux niveaux national et local, le 13 juillet, jour du Conseil des ministres qui adoptera le projet de loi. Durant l’été, les organisations syndicales interpelleront les parlementaires.
Les organisations syndicales CFDT, CFTC, CGT, FO, FSU, Solidaires, UNSA vont poursuivre leur action tout au long du processus législatif de la réforme des retraites.
Elles décident d’une nouvelle journée nationale de grèves et de manifestations le 7 septembre 2010, au moment où s’ouvrira le débat parlementaire. Elles appellent tous les salariés du privé et du public, les demandeurs d’emploi, les jeunes et les retraités à construire ce jour une mobilisation d’ampleur.

Retraites: Bernard Thibault se félicite d'une mobilisation «de haut niveau»

Le secrétaire général de la CGT, Bernard Thibault, a estimé que la mobilisation de jeudi était «de haut niveau», avec «autour de deux millions» de manifestants partout en France contre le projet de loi sur les retraites.
«Il fallait une réaction à la hauteur de la remise en cause des droits à la retraite» et «le moins qu’on puisse dire, c’est que le répondant est au niveau nécessaire», a-t-il déclaré peu avant le départ du cortège parisien.
«Il est trop tôt pour donner des chiffres de participation, mais les indications à partir de ce qu’il s’est passé ce matin en province montrent qu’on a une mobilisation de haut niveau», a-t-il poursuivi.
Selon le numéro un de la CGT, «le calendrier ne nous était pas favorable et pourtant les salariés (ont répondu) par centaines de milliers, on sera autour des deux millions, un peu plus ou un peu moins on verra» et «c’est donc un événement».
«La suite va appartenir au président de la République. Dès lors que 23 grévistes (les joueurs de l’équipe de France de football, ndlr) parviennent à modifier l’agenda du président de la République, assez naturellement, on pourrait penser que les responsables syndicaux puissent être reçus», a-t-il persiflé, en référence au rendez-vous entre Nicolas Sarkozy et Thierry Henry.
«Il ne faut pas que le projet de loi soit examiné dans sa version actuelle au Conseil des ministres le 13 juillet mais qu’on ouvre enfin une véritable séance de négociation», exige M. Thibault.
(Source AFP)

 A lire dans Libé

Manif du 24 juin

RASSEMBLEMENT C.G.T  : 14 H 00 - Place DOMBASLE A NANCY
 
DEPART  :  14 h 30
 
CORTEGE  : CGT – CFDT – UNSA – FSU – SOLIDAIRES ….
 
PARCOURS  :
-          Place Dombasle
-          Rue Henri Poincaré
-          Rue Mazagran
-          Bld Joffre
-          Rue Cyfflé
-          Rue des 4 Eglises
-          Rue Charles III
-          Rue St Dizier
-          Rue Stanislas
-          Place Stanislas

08- Ardennes
10h Place Ducale (Charleville-Mézières)

10-Aube
10h30-Troyes, Bourse du Travail
16h00-Bar sur Aube, Place Aubertin
17h00-Romilly


51-Marne
10h00 Châlons : Maison des syndicats
10h00 Epernay : Place Carnot

10h00 Reims : Maison des syndicats

10h00 Vitry le François : espace Lucien Herr

 
52-Haute-Marne
17H00 CHAUMONT Place de l'hôtel de ville
17H30 SAINT-DIZIER Place de l'hôtel de ville

54-Meurthe-et-Moselle
14h00-Nancy, place Dombasle
15h00-Lonwy, place Darche

55-Meuse
14h30 BAR-le-DUC gare SNCF

88-Vosges
14h30-Epinal, Préfecture

24 JUIN 2010 : Mobilisation nationale pour la défense des retraites

Alors qu'il annonce un plan d'austérité, le gouvernement dépense 5 millions  d'euros de pub pour faire avaler la réforme des retraites à l'opinion. Mais les salariés ne sont pas dupes. Cette énième réforme ne sera pas plus efficace que les précédentes. En effet, la question cruciale du financement de la Protection Sociale en général, et de la retraite en particulier, n’est nullement posée.
Les retraites sont un choix de société. Le Gouvernement et le patronat expliquent qu'il n'y a pas d'autres solutions que de reculer l'âge du départ à la retraite et d'accentuer la paupérisation des pensions. Ils ne vivent pas dans le même monde que nous. Leurs propositions entraîneront la souffrance au travail et la montée du chômage.
Depuis plus d’un siècle la capitalisation a fait la preuve de sa nocivité. L'épargne individuelle n'est pas une solution : elle nous oblige à des privations tout au long de notre vie active et ne nous permettra pas de vivre dignement nos années de vieillesse.
Les salariés veulent conserver une retraite solidaire, par répartition. Le succès des rassemblements unitaires de ces derniers mois montre l'attachement des salariés à leur système de retraite et leur détermination à lutter. Le retour au plein-emploi est la première condition pour financer de bonnes retraites.
Cela implique de créer une dynamique économique fondée sur le développement de l'emploi stable, qualifié et bien rémunéré. Il faut rompre avec le modèle économique fondé sur la satisfaction prioritaire de l'actionnaire.
Seul le plein-emploi peut nous permettre de faire aboutir nos revendications salariales.
Nos revendications d’un salaire minimum professionnel de 2000 euros par mois et d’une augmentation de tous les salaires de 300 euros restent d’actualité.
La campagne de signature des cartes pétitions de la CGT remporte un franc succès auprès de la population et confirme le bien fondé de nos revendications :

• MAINTIEN DE LA RETRAITE A 60 ANS
• REFUS DE L’ALLONGEMENT DE LA DUREE DE COTISATIONS
• UN TAUX DE REMPLACEMENT DE 75% DU SALAIRE
• AUCUNE PENSION INFERIEURE AU SMIC

Retraite, emploi, salaire, rien n’est joué. La mobilisation doit s’amplifier.
Tous les salariés sont concernés. Le 24 juin, je ne bats pas en retraite ! Je signe la pétition.


LE 24 JUIN 2010
LA CGT APPELLE LES SALARIES A ETRE EN GREVE ET A PARTICIPER AUX MANIFESTATIONS

Une Rolex à 50 ans ! Une retraite à 60 ans !

Accompagné des membres du comité confédéral national de la CGT, Bernard Thibault et une délégation de dirigeants de la confédération ont déposé 218 188 cartes pétitions et signatures internet au ministère du Travail ce mercredi 9 juin. A l’issue de cette délégation, le secrétaire général de la CGT a indiqué : "Mon court entretien sur la réforme des retraites confirme que tout le monde va y perdre. [...] Le ministre confirme que l’on sera fondamentalement en désaccord sur le projet de texte qui nous sera destiné le 15 juin au soir. Bernard Thibault a notamment cité comme motifs de désaccord l’âge de départ en retraite et la durée de cotisation, et s’est montré critique sur le traitement individualisé de la prise en compte de la pénibilité.

PETITION : NON à la loi Nouvelle Organisation du Marché de l’Électricité

Je m’oppose à ce projet de loi dont le but premier est de faire des profits sur le dos du consommateur,

Je m’oppose à ce projet de loi qui vise à tuer le tarif régulé du service public, me garantissant un prix des plus bas,

Je m’oppose à ce projet de loi
qui tente de faire de l’électricité une marchandise comme les autres alors qu’elle est un bien vital, de première nécessité,

Je m’oppose à ce projet de loi
qui va à l’encontre de l’intérêt public de la nation, garant de la cohésion sociale.

Pour toutes ces raisons je signe la pétition pour demander l’arrêt immédiat de ce projet de loi.

NICOLAS SARKOZY RÉDIGE, MAIS LAURENCE PARISOT DICTE

Le chef de l’État et son gouvernement ne parviennent pas à convaincre en dépit d’un matraquage médiatique dispendieux. Les Français ne se rangent toujours pas à la perspective de cesser le travail plus tard et de cotiser plus longtemps alors que leurs enfants, même diplômés, peinent à trouver un emploi stable. Inspirée par les revendications du Medef, la réforme inquiète.
C’est encore ce qui ressort du sondage Ipsos/Liaisons sociales paru la semaine passée :
- 78 % des Français se déclarent inquiets sur le futur montant de leur retraite ;
- 64 % estiment ne pas faire confiance au gouvernement pour assurer l’avenir des retraites ;
- 70 % (+ 3 pts par rapport à un sondage identique de novembre 2009) s’inquiètent de leur futur niveau de vie ;
- 85 % des sondés estiment qu’« il faut continuer à réformer le système de retraites pour assurer les retraites de nos enfants » ;
- 81%considèrent que « cela ne sert à rien de réformer les retraites si on ne règle pas le problème de l’emploi des seniors et de la pénibilité du travail ».
Les Français sont donc loin d’être acquis aux solutions que l’on cherche à leur imposer. La méthode et le calendrier de la réforme (au pas de course, sans négociations véritables et au mépris du dialogue social) donnent un sentiment de fébrilité. Dans cette séquence délicate
pour l’exécutif, la présidente du Medef a estimé dans Le Figaro la semaine passée que « la promesse de s’arrêter à 60 ans, ce n’était pas un acquis social, mais au contraire une grande illusion ou un grand mensonge ».
Pire, « avoir au-dessus de la tête une telle épée de Damoclès, en le sachant plus ou moins, a participé depuis des années au moral dépressif de beaucoup de Français ». Laurence Parisot a donc tout lieu d’être satisfaite puisque le gouvernement a annoncé qu’il repousserait l’âge légal de la retraite au-delà de 60 ans. Pas tout à fait semble-t-il puisque la voilà maintenant qui sonne
la charge pour hâter le pas. Elle souhaite que le gouvernement applique les nouvelles règles à un rythme soutenu. « Le gouvernement raisonne aujourd’hui sur la base d’un trimestre par an, mais pourquoi pas un semestre par an, si ça permettait un vrai retour à l’équilibre, il me semble que ça en vaudrait la peine », suggèret- elle. On se souvient que le président Sarkozy avait promis qu’il ne toucherait pas à la retraite à 60 ans, comme le lui demandait Laurence Parisot, au motif que les Français ne l’avaient pas élu pour cela. Aujourd’hui, le président foule au pied ses engagements et la patronne des patrons en redemande. Le Medef a bien compris que l’encre du projet de réforme des retraites n’est pas encore sèche, même si les grandes lignes ont été dévoilées.
Rien n’est joué et le Medef veut toujours pire. À nous de nous mobiliser pour obtenir le meilleur.
L’appel unitaire lancé pour le 24 juin par les organisations syndicales peut recevoir un accueil très favorable de la part des salariés, privés d’emplois, jeunes étudiants et futurs actifs, des retraités, comme en témoigne les sondages successifs.
D’ici au 24 juin, il est possible de mobiliser plus largement.

Réforme des retraites : la CGT va remettre un premier lot de plus de 100 000 pétitions

Le Secrétaire général de la CGT, Bernard Thibault, accompagné par une délégation du Comité confédéral national de la CGT va remettre, mercredi, au ministère du Travail plus de 130 000 cartes et signatures électroniques de la pétition lancée contre la future réforme gouvernementale des retraites.

Euro-manifestation 29 septembre Bruxelles

La Confédération européenne des syndicats (CES) et les autres partenaires sociaux européens rencontreront le Président de la Commission européenne, M. Barroso, le 4 juin pour poser le problème des conséquences de la crise et des mesures d’austérité sur l’emploi et le social.
Lors de la rencontre, la délégation syndicale mettra en avant ses priorités :
L’Union européenne a besoin d’un plan de relance pour favoriser la croissance par son propre développement ainsi que des politiques industrielles fortes basées sur des politiques industrielles bas carbone et sur l’exploitation de nouvelles technologies. La CES mettre de nouveau en garde contre les mesures d’austérité adoptées par de nombreux gouvernements car elles menacent la croissance et le pouvoir d’achat. De plus, ces mesures d’austérité réduiront la voilure des prestations sociales, dernier rempart contre l’exclusion sociale et elles aggraveront la précarité déjà importante.
D’autre part, la CES considère qu’il est urgent de renforcer les moyens de coordination fiscale au niveau européen. En effet, les asymétries de compétitivité à l’intérieur de l’Europe posent problème pour la cohésion économique et sociale de l’Europe.
Enfin, l’Union européenne doit poursuivre ses efforts en matière de réglementation financière. Nous devons mettre en place de nouvelles fiscalisations telles que la taxation sur les transactions financières. La CES défend la réglementation financière pour inverser la tendance de la spéculation à haut-risque.
L’avenir de L’Europe ne peut pas se fonder sur la précarisation du marché de l’emploi et sur une spirale descendante de la protection sociale. Lors de son comité exécutif des 1er et 2 juin 2010, la CES a décidé d’engager une campagne contre les coupes sombres dans les dépenses publiques et pour plus de croissance. Une Euro-manifestation aura lieu le 29 septembre à Bruxelles.
Le, 3 juin 2010

Retraites : rien n’est joué

Plus que jamais le passage à l’offensive de l’ensemble des organisations CGT est une urgence de l’heure. Au moment où la finance, via l’Union européenne, le gouvernement et le Medef, se donne les moyens de corseter les peuples et d’imposer des politiques d’austérité drastiques, l’attente des salariés est forte en matière de propositions revendicative et d’actions. Si nous sommes initiateurs, nous ne sommes cependant pas toujours
à l’initiative des luttes ou des interventions collectives. Des coordinations naissent comme chez les jeunes diplômés du Technocentre Renault ou chez les infirmier-e-s anesthésistes. Un climat combatif est en train de s’inscrire sur les lieux de travail. Refusant d’être victimes d’un partage de la pénurie orchestré par le pouvoir à leur détriment au nom d’une fausse équité, nos catégories sont aujourd’hui disponibles pour mettre en cause les politiques menées dans les entreprises et le pays en matière de salaires, de financement des retraites, de
mode de management, de création et de répartition des richesses. Développer notre syndicalisme UGICT-CGT partant du vécu au travail, cultivant le lien avec les cadres et technicien-ne-s, jeunes et moins jeunes, hommes et femmes est aujourd’hui décisif pour le débouché même du mouvement social.
Quelles que soient les formes d’action, a fortiori si elles sont catégorielles, nous avons besoin de travailler en leur sein des axes transversaux et convergents ouvrant des perspectives de rassemblement plus larges. La carte-pétition retraite, l’ensemble des supports mis à disposition par la CGT et son UGICT visent à favoriser les débats et mobilisations de masse nécessaires.
Chaque contact, chaque acte militant UGICT-CGT va compter lourd dans la période à venir.

Jean-François Bolzinger
Secrétaire général adjoint de l’UGICT-CGT

LE 27 MAI JOURNEE NATIONALE DE MOBILISATION


Alors que le gouvernement a fait parvenir dimanche aux organisations syndicales, un document  d’orientation sur la réforme des retraites (17 pages pour 14 engagements), son choix confirme des pistes qui donnent satisfaction au MEDEF et préparent des choix insupportables pour les salariés, les retraités, les jeunes actifs.

Après les premières mobilisations du 23 mars et du 1er mai, l’heure est à la mobilisation unitaire la plus large possible sur tout le département.

L’Union Départementale CGT vous rappelle notre réunion du JEUDI 20 MAI 2010 au matin à 9 h 00 avec les secrétaires de syndicats, d’Unions Locales et Professionnelles afin de gagner l’implication de tout nos élus et mandatés dans la bataille qui s’ouvre.

Il s’agira aussi d’organiser un plan de travail afin de réunir le plus rapidement possible (dans les 15 jours) au moins dix mille signatures de la carte pétition « RETRAITES, des solutions il y en a ! ».

D’ores et déjà, nous pouvons vous informer de l’organisation d’une manifestation départementale le JEUDI 27 MAI 2010 à 14 h 00 à NANCY à l’appel de la CGT – CFDT – FSU – UNSA – SOLIDAIRES.

RASSEMBLEMENT C.G.T  14 H 00 – PLACE DOMBASLE (dans le haut de la rue Stanislas).



Ordre du cortège : CGT  CFDT  FSU  UNSA –SOLIDAIRES – PARTIS -  POLITIQUES – ASSOCIATIONS - COLLECTIFS


Parcours de la manifestation :

Ø      Rue Poincaré
Ø      Gare
Ø      Boulevard Joffre
Ø      Rue Cyfflé
Ø      Rue des 4 églises
Ø      Rue Charles III
Ø      Rue St Dizier
Ø      Place St Epvre
Ø      Place Carrière

Une mise au point après le vote de la caisse nationale d’assurance vieillesse

mercredi 12 mai 2010, par Frédéric Dayan

Mise au point concernant le vote du CA de la CNAV sur la réforme des retraites

La CNAV communique sur un vote intervenu aujourd’hui concernant la réforme des retraites. Il est fait état de l’opposition de la CGT sur le texte soumis au vote.
Le Conseil d’administration a notamment pour mission d’apporter des contributions utiles pour conforter et améliorer les droits actuels et futurs des retraités.
Certes, le texte présenté rappelle l’attachement du conseil d’administration au régime de retraite par répartition et la nécessité de le pérenniser, or, ce texte vise en fait à apporter un soutien aux pistes d’évolutions souhaitées par le patronat et envisagées par le gouvernement tels le recul de l’âge, l’allongement de la durée de cotisations qui conduirait a une baisse de pensions, c’est la raison du vote négatif de la CGT.
Les représentants du patronat, pour leur part, ont voté unanimement le texte.
Montreuil le 12 mai 2010

Communiqué de Fédération CGT des Services publics et de l’Union départementale CGT de la Moselle

Non à la répression antisyndicale ! Justice et respect pour nos militants
Victoire pour les camarades d’Amnéville !

Le Tribunal Administratif de Strasbourg en date du 11 mai vient d’ordonner la réintégration de nos
deux camarades d’Amnéville, Thierry Barle et Raphaël Cacitti – confirmant ainsi l’illégalité de leur
révocation – avec astreinte d’exécution de 100 euros par jour.
Quelques jours avant, l’arrêté du Maire d’Amnéville visant à interdire la manifestation organisée
par la CGT le 4 mai avait été annulé par le Tribunal Administratif, à la demande du Préfet de
Moselle. Et cette mobilisation a été payante !
Ni le Maire d’Amnéville, ni aucun autre employeur – qu’il soit du public ou du privé – ne fera taire
la CGT, qui est déterminée à oeuvrer pour le respect des libertés syndicales et le droit à l’activité
et l’expression CGT, dans chaque profession et dans chaque territoire ! Il s’agit là d’un
avertissement.
Cette mobilisation a permis cette victoire, et doit en appeler d’autres. Non seulement par
l’application du jugement, avec la réintégration immédiate, de nos deux camarades, mais aussi
contre toutes les atteintes au respect de la liberté syndicale sur l’ensemble du territoire. Nous
resterons extrêmement attentifs aux conditions de réintégration de nos deux camarades, et au
respect de l’activité CGT à Amnéville.
La répression antisyndicale vécue par les camarades de cette collectivité est en effet loin d’être un
cas isolé, à l’image de celle subie notamment par deux agents territoriaux de la mairie de Saint-
Martin de Valgalgues (Gard), qui a fait également l’objet d’une mobilisation le 4 mai dernier.
Partout, il faut continuer à faire avancer avec force ces exigences ! En portant atteinte au droit
syndical, ce sont les droits et libertés de l’ensemble des salarié-e-s qui sont bafoués.
Ce mois de mai marquait également le 10ème anniversaire de notre victoire dans l’affaire des 10
d’Alès, qui avait permis à la CGT d’empêcher la condamnation en justice des camarades
territoriaux poursuivis pour leur activité syndicale.
La CGT est déterminée à ne rien lâcher sur la démocratie sociale, les libertés et droits syndicaux, le
droit pour les salariés de revendiquer et de s’organiser dans la CGT ! Que les employeurs qu’ils
soient du secteur public ou du secteur privé se le disent !
Le 12 mai 2010

FIN DE CONFLIT CHEZ F.V.M

Nous vous informons que les salariés de la Fonderie de Villers la Montagne ont mis fin au conflit qui les opposait à la direction dans la nuit du    6 au 7 mai 2010.

            La CGT qui était engagée dans le mouvement depuis 15 jours a pu enfin négocier avec la Direction dans la nuit.

            Le blocage d’un camion à l’intérieur de l’entreprise venu s’approvisionner auprès de l’équipementier automobile, l’intervention des forces de police ont amené les camarades du site de St Claude dans le Jura à se mettre en grève également.

            La détermination des salariés, la présence des organisations territoriales et professionnelles de la CGT, la mise en œuvre de la solidarité  CGT dans le groupe a pesé sur la direction générale qui a été contrainte d’ouvrir de réelles négociations.

            Les camarades de FVM ont obtenu 50 euros brut sur le salaire de base mensuel et des avancées sur les conditions de travail. Les salariés ont accepté ce compromis.

            L’Union Départementale CGT de Meurthe et Moselle se félicite de cette bataille gagnante sur les salaires.

            Il est à préciser que d’autres syndicats CGT sont engagés dans des luttes revendicatives sur les salaires comme par exemple à la Cristallerie de Baccarat.

Pages jaunes (Nancy et Châlons-en-Champagne)

Conflit unitaire sur les salaires
lundi 10 mai 2010, par Frédéric Dayan
 
A l’appel de la CGT, la CFDT, FO, la CFTC et la CGC, plusieurs dizaines de salariés des agences Pages jaunes de Nancy et Châlons-en-Champagne se sont mis en grève pour 24 heures ce lundi matin et des débrayages de quelques heures sont observés dans d’autres agences, afin d’obtenir des revalorisations salariales.

Infirmiers anesthésistes : pour une reconnaissance de leurs qualifications

2 000 infirmiers anesthésistes ont manifesté à Paris le 4 mai dans le cadre d’une journée nationale d’actions à l’appel des trois principaux syndicats de la profession (CGT, Syndicat national des infirmiers anesthésistes et Sud) pour une meilleure reconnaissance de leur profession.
Les infirmiers anesthésistes dénoncent la non-reconnaissance de leur spécialité par le protocole Bachelot signé en février, la possibilité pour des infirmiers n’ayant pas suivi deux années de formation de pratiquer des actes d’anesthésie et la non prise en compte de la pénibilité de leur travail. Les 7 500 infirmiers anesthésistes en France, qui assistent notamment les médecins anesthésistes dans les blocs opératoires, réalisent cinq années d’études : les trois ans de formation initiale pour le diplôme d’État puis après deux années d’exercice du métier, deux nouvelles années de formation. Le protocole Bachelot de février dernier est consacré aux conséquences de la reconnaissance du diplôme infirmier au niveau licence.

Article tiré de la lettre UGICT 304

Retraites Des solutions, il y en a !

Signez la pétition en ligne

Pétition


Monsieur le Président de la République,

Au moment où l’avenir des retraites du public comme du privé est en jeu, je tiens à vous faire savoir par cette pétition qu’il est primordial de :
- garantir le droit à la retraite à 60 ans ;
- reconnaître la pénibilité par un départ anticipé ;
- assurer une pension au moins égale à 75 % du salaire et en aucun cas inférieure au Smic pour une carrière complète,
- stopper l’allongement de la durée de cotisation ;
- prendre en compte, dans le calcul de la pension, les périodes d’étude et d’inactivité forcée.

Le financement des régimes et la nécessaire revalorisation des retraites passent par l’élargissement de l’assiette de cotisation à toutes les rémunérations, le développement de l’emploi, une augmentation des salaires et une mise à contribution des revenus financiers des entreprises.

Je serai très attentif(ve) aux mesures que vous allez proposer et vous montre, par ma signature, ma détermination à vouloir assurer l’avenir de ma retraite ainsi que celui de notre système solidaire.

Mairie d’Amnéville 1000 manifestants pour les libertés syndicales

mercredi 5 mai 2010, par Frédéric Dayan

A l’appel de la CGT, plus de 1 000 manifestants venus d’Alsace, Franche-Comté, Pays de la Loire, Picardie se sont rassemblés sous les fenêtres du maire de cette commune à l’occasion d’une « journée nationale d’action sur les libertés et les droits syndicaux ». Ils ont exigé la réintégration de Thierry Barlé et Raphaël Cacitti, deux policiers municipaux, syndiqués à la CGT, radiés des effectifs communaux en octobre 2009.

En 2005, ces deux policiers avaient dénoncé au procureur de la République de Metz la gestion, « inacceptable » des thermes de la ville par leur maire.« Le maire-voyou Kiffer n’en a pas fini avec ce qu’il qualifie de peste rouge, car personne ne peut faire taire la CGT », a affirmé Baptiste Talbot, secrétaire général de la fédération CGT des services publics. La CGT a intenté une action en justice contre M. Kiffer pour obtenir la réintégration de ses deux militants lorrains.

Il s’agit de la quatrième manifestation nationale organisée à Amnéville par la CGT. En février, une cinquantaine de cégétistes avaient occupé pendant plusieurs heures la mairie. En février 2009 et, auparavant, en 2008, la CGT avait déjà manifesté pour « faire respecter la liberté syndicale à la mairie d’Amnéville ».

13è jour de conflit à FVM TECHNOLOGIES VILLERS LA MONTAGNE

Les salariés de cette entreprise sous traitante de PSA, notamment à Metz Borny, ont décidé d’un mouvement gréviste très largement et majoritairement suivi à l’appel de la C.G.T.


La Direction, malgré plusieurs réunions, refuse d’ouvrir la moindre discussion sur la question salariale. En effet, la CGT revendique 100 euros en plus sur le salaire de base mensuel.

L’Union Départementale CGT de Meurthe et Moselle, l’Union Locale CGT de Longwy et la Fédération CGT de la Métallurgie apportent leur soutien à ce mouvement revendicatif.

Une solidarité s’organise dans notre organisation afin que les camarades grévistes puissent subvenir aux besoins urgents.

Les chèques sont à libeller à l’ordre de :

Union Locale CGT LONGWY
Mettre au dos du chèque « soutien à FVM Tech » et adresser à :
Union Locale CGT de LONGWY – Maison de la Formation - Centre Jean Monnet
CS 61428 – 54414 LONGWY CEDEX

Les virements peuvent être faits sur le compte spécifique de l’UL pour FVM :
n° de compte : NCY 400 16 Y centre de Nancy

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